Les aventuriers de l'arche perdue
La résurrection du cinéma d'aventure
Comment présenter le film qu’on ne présente plus?
La résurrection du cinéma d'aventure
Comment présenter le film qu’on ne présente plus?
Réminiscences du film de Steven Soderbergh
Solaris. 2002. Encore un film que j’ai vu beaucoup trop jeune. J’avais 19 ans. Et j’étais déjà fasciné par cette histoire d’un type ayant perdu toute connexion avec la vie des hommes, métro-boulot-thérapie de groupe-dodo, sautant sur la première occasion pour s’envoler pour le recoin le plus mystérieux (et potentiellement le plus déglinguant) de l’univers. Un recoin qui, on l’apprendra bien assez vite, a la propriété de rendre corps et vie aux personnes qui continuent de hanter nos cœurs après nous avoir quittés.
Interview d’une jeune boîte de production lausannoise
L’autre jour, j’ai rencontré par hasard Nicolas Jutzi, que je n’avais pas revu depuis plusieurs années. La dernière fois que nous nous étions croisés, je lui rendais un réflecteur qu’il m’avait prêté. Après les salutations d’usage, il m’a invité à visiter le studio vandyfilms, qu’il a lancé il y a tout juste un an avec son cousin Oliver. Quelques jours plus tard, je prenais donc un café avec eux dans leurs locaux lumineux du quartier de la Cité et en apprenais plus sur leur activité.